« À première vue, l’univers n’est peuplé que d’un ensemble de figures; en réalité, il est peuplé d’un ensemble de présences. » (François Cheng)
Le dessin, n’est pas un objet mais un espace ou l’invisible se matérialise, un passage, une médiation. Le monde y devient graphismes, écritures, ombres et lumières, nostalgie et espérance, plans de rêve et imaginaire, « un chaos bienveillant ou l ‘œil est convié à retrouver les sentiers d’un ordre secret. » (François Cheng)
Les « séries » se succèdent sans jamais se refermer, se terminer, dans l’élasticité du temps… Chaque « série » est une nouvelle porte, une nouvelle ouverture, un nouvel espace qui ne met pas fin aux précédents mais révèle de nouveaux sentiers dans un monde constamment en train de s’écrire en éternelles circonvolutions, résurgences, percées apparentes du possible.